Sang et Or à la Chabotterie
C’est reparti ! Ce dimanche 7 mars, Henri Bourgenay est de nouveau en vadrouille, et les Echos de Nampilly avec lui. Après le succès foudroyant de ses dédicaces au festival Dédica’Marcq, après les dédicaces à Carrick Paris, Henri Bourgenay est de retour sur ses terres de Vendée. Et pas n’importe où : au magnifique logis de la Chabotterie. Excusez du peu.
Bienvenue à la Chabotterie !
Nous n’aurions pu rêver plus prestigieux écrin pour le lancement officiel de Sang et Or : le lieu d’arrestation de Charrette, mythique chef vendéen, aujourd’hui transformé en musée des guerres de Vendée. Ce château entièrement meublé offre également une découverte évocatrice et passionnante de la douceur de vivre de la fin du XVIIIe siècle.
Visiblement, nous sommes attendus !!
Après être partis cueillir Henri Bourgenay à la gare de Nantes, arrivée sur place en début d’après-midi, sous un soleil radieux, après une trentaine de minutes de route. Le site est magnifique. Le logis aussi ! Nous en profitons pour arracher une photo souvenir à Henri Bourgenay qui prend la pause devant la façade.
Nous sommes accueillis par Estienne Blécon, directeur du site géré par le Conseil Général de la Vendée. Il nous fait d’abord pénétrer dans la librairie. Sur le présentoir en face de l’entrée, les exemplaires de Sang et Or trônent déjà à la meilleure place, au côté des incontournables ouvrages sur Charrette et les guerres de Vendée. Quel honneur ! « La journée s’annonce très bien, déclare le directeur : nous avons reçu plus d’une centaine de réponses positives suite à l’envoi des cartons d’invitation aux invités VIP. » Si à cela on ajoute les personnes qui auront lu l’information dans Ouest-France, Vendée Infos et autres journaux ou sites internet, ça risque de devenir pas mal du tout ! Suit une visite au pas de charge du musée – qu’à cela ne tienne, nous profiterons de prochaines vacances pour revenir, car le contenu exige que l’on s’y attarde.
En même temps que les premiers invités – avec une heure d’avance –, nous pénétrons dans la salle de conférence-spectacle : moquette rouge, murs et plafonds noirs : la classe ! Tout de suite, notre regard est attiré par la vingtaine de dessins originaux de Bernard Dufossé dont les cadres ornent les murs.
Gouaches, crayonnés, encrés : nous y retrouvons les illustrations de Sang et Or bien sûr, mais aussi du Deuxième jeu, de Iaume le preux, sans compter les dessins effectués pour les Scouts de France ou les Scouts Unitaires de France avec sa célèbre patrouille des Mouflons.
Encore une fois, nous sommes conquis par les couleurs – encore plus chatoyantes que sur les ouvrages imprimés – et par la vigueur du coup de crayon. Nous ne pouvons nous empêcher de penser à l’artiste, retenu chez lui par des sérieux problèmes de santé, alors que ce vendéen d’origine espérait tant être présent. Tandis que nous admirons les « Dufossé », la salle se remplit. « Excusez-nous, est-ce bien vous l’auteur de Sang et Or ? » Et voici Henri Bourgenay déjà réquisitionné pour les dédicaces !
à suivre...