Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les Echos de Nampilly
Publicité
Archives
4 juin 2009

Georges Cerbelaud-Salagnac et le Canada 9

Montclam est venu et mort en vain. La domination anglaise s’est étendue à tout le pays.

Le Canon tonne à Saint-Eustache (1953)

canon

En 1837, le comté des Deux-Montagnes et la paroisse Saint-Eustache, travaillés de différentes manières par les idées autonomistes et par des trublions soi-disant républicains, s’insurgent contre l’autorité de l’Angleterre. La population se sent brimée dans ses sentiments français et catholiques. Toutefois, pour l’évêque de Montréal et ses curés, l’autorité légitime – celle qui garde le pays dans la paix – est celle du gouverneur nommé par Londres. Un premier succès, la délivrance de deux hommes prisonniers de leur escorte anglaise, lance le soulèvement. Un Suisse, est-ce drôle dans cette contrée ! est nommé général, un certain Girod. On suit toute l’affaire à travers les aventures de la famille Bélanger: une fille, quatre garçons. Trois parent, insurgés. Le fiancé de la demoiselle rejoint, lui, les habits Rouges loyalistes… et anglais. Ce sont eux qui auront le dernier mot à la bataille de Saint-Eustache. Girod a fui. Il se suicide peu après.

On peut penser qu’il manque une suite à cette histoire, en somme le récit d’une défaite. Mais les caractères des héros restent typiques du ''trait'' Cerbelaud-Salagnac.

39736223

Publicité
Publicité
Commentaires
P
On l'a repéché au milieu des beluga...
D
où est passé le numéro 8? Dans le saint-lairent?
Publicité